History lesson: Liberalism

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For those who understand French, here’s a little history of liberalism for you, written for a social assignment.

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Le libéralisme classique, une mode de vie idéalisée par plusieurs pays autour du monde, n’est pas tous ce qu’on imagine; il y a des faiblesses accidentelles et inhérentes qui le rendent moins-que-parfait. Ceci amène à des réactionnaires qui ne veulent rien plus que de changer le système, les réactionnaires. C’est alors les défauts du libéralisme qui crée des réactions autoritaires, des mouvements qui opposent la liberté qui est au fondement du libéralisme. On dit dans la source que le libéralisme « donne des armes à ceux qui veulent lui substituer l’autoritarisme »;  les armes dont l’auteur parle ne sont pas des fusils ni des bombes nucléaires, mais des raisons qui donne de l’appui à l’existence d’un régime autoritaire ou totalitaire. On peut argumenter, par exemple, que les inégalités sociaux-politiques dans un pays libérale comme les États-Unis a donné à Staline une raison de diriger l’URSS en étant d’un dictateur. C’est vrai que les pays libéraux comme les États-Unis peuvent facilement être utilisé comme étant de bouc émissaire, dirigeant le mécontentement du people opprimé par un gouvernement autoritaire. Des autres pourraient dire que c’est la faute des gouvernements autoritaires qui prennent les petites erreurs dans le système libérale et les torsionnent et agrandissent pour les utiliser comme la propagande. Quand même, ce n’est pas une raison d’abattre le libéralisme et les libertés personnelles qu’il représente. C’est  un avertissement qu’on devrait obliger, qui nous pousse vers des changements dans le système, vers ce qu’on appelle aujourd’hui le libéralisme moderne. Le libéralisme moderne est une forme du libéralisme dilué avec un peu de socialisme, où les libertés ont été modérés une petit peu pour donner de l’espace à un filet de sécurité sociale.

Comme on a dit, une des armes les plus puissants des gens qui veulent substituer l’autoritarisme est l’exemple d’une nation plutôt libérale où il y a un grade fosse entre ceux qui ont du succès dans le système et ceux qui n’ont pas. Une disparité comme ceci causera toujours un mécontentement, car les pauvres vivent dans la même société que les riches, et ils voient ce qu’ils ne gagneraient jamais sous un système de marché complètement libéral. Prenez par exemple la Grande Bretagne durant la Révolution Industrielle; la technologie avançait de façon exponentielle, mais au grand prix de la qualité de vie. Les industrielles, des gens qui avait tous l’argent et le pouvoir qu’ils pourraient imaginer, ont obtenu leur succès en exploitant les gens qui n’avait rien. Le gouvernement, dirigé seulement par ceux qui avaient déjà de l’argent et le pouvoir, bénéficiait peu à ceux qui l’avaient besoin le plus. Un dictateur ou le dirigeant d’un gouvernement autoritaire pourrait prendre cette exemple comme raison pour un gouvernement forte, qui pourrait servir à tous les citoyens, non-pas une certaine élite. On toucherait fort probablement à la pouvoir le l’élite durant la R.I. aussi, quand c’était seulement les hommes riches qui avait le pouvoir. Un dirigeant argumenterait que dans un système autoritaire, il n’y a aucun citoyen plus haut qu’une autre, que c’est seulement le gouvernement, là pour assurer la qualité de vie de ses citoyens. Tout ceci est un outil que pourrait utiliser un dirigeant autoritaire pour endoctriner son pays, ou une révolutionnaire qui veut remplacer le libéralisme.

Un deuxième qui supporte la thèse de la source que le libéralisme emporte l’autoritarisme est que la liberté peut être abusée. On peut prendre par exemple l’Allemagne après la 1e Guerre mondiale, forcé de devenir un pays libérale par la Société des nations, qui a ensuite emporté la 2e G.M. Avant Hitler, la faible gouvernement, plutôt libérale, a bouleversé les citoyens, car ils ne savait même pas quoi faire avec tellement de choix. Hitler, une des pires dirigeants autoritaires de toute l’histoire et une forte opportuniste, a capitalisé sur la situation et a pu mettre en place un gouvernement totalitaire. L’Allemagne, qui était avant dévasté par la guerre, est devenue une énorme force qui a terrorisé l’Europe durant plusieurs années. L’abus de la liberté est aussi évident sur l’échelle mondiale, ce qui met en évidence les guerres de toutes sortes. Quand un pays devient plus puissant qu’un autre et exerce cette puissance, c’est comme du libéralisme, car il n’y a pas vraiment un gouvernement qui contrôle tous les pays.  C’est alors une raison pour promouvoir le gouvernement fort dans un pays, ainsi que l’expansion de l’autoritarisme, comme a fait Staline avant et durant la Guerre Froide. Dans l’opinion de Staline, tous les pays devraient être communiste, et il a endoctriné ses pays voisins une par une. C’est la même raison pourquoi la Chine puni les dissidents, car ils abusent leurs (maigres) libertés. Alors chaque fois qu’un libérale abuse ses libertés, ça donne à un gouvernement autoritaire la chance de et une raison pourquoi serrer la vis un peu plus fortement.

Même si la source est correcte en disant que le libéralisme amène à l’autoritarisme et au totalitarisme, la solution qu’elle offre n’est pas utile. La réponse correcte n’est pas d’abattre le libéralisme, mais le laisser évoluer. Si on regarde à l’histoire, le libéralisme pur, ce qui est aussi appelé le libéralisme classique, est changé graduellement par un peuple qui veut plus d’égalité, et passe au libéralisme réformé. De là, le gouvernement amène des changements qui enlèvent quelques libertés, mais qui met en place un filet de sécurité sociale, qui aide les citoyens en bas de l’échelle. La richesse extrême est modérée par les taxes progressives et cet argent se ramène dans des programmes sociaux et services publiques qui bénéficient à tout le monde. Il n’y a pas vraiment de classes sociales, car tout le monde est libre à choisir son propre emploi, et de vivre selon ses moyens. Le libéralisme moderne emploi la démocratie représentative, alors les minorités riches sont moins représentés que les majorités moyens ou pauvres. Oui, il y a des exemples où on a passé d’un extrême à une autre, comme ce que dit George Wilinski dans la source, mais la plupart du temps c’est une transition graduelle. Il n’y a aucune raison d’abolir le libéralisme pur, car il évolue vers quelque chose qui bénéficie à tout le monde.

Pour conclure, on doit revisiter la source, qui disait « Il faut abattre le libéralisme, car il donne des armes à ceux qui veulent lui substituer l’autoritarisme. » George Wilinski est correcte et trompé en même temps; oui, les fautes dans un système libérale peut donner du pouvoir à ceux et celles qui veut mettre en place un gouvernement  autoritaire, mais la solution n’est pas d’abattre les gouvernements libérales. On peut prendre comme appui de M. Wilinski les exemples des inégalités présents dans la Grande Bretagne durant la Révolution Industrielle, les évènements qui ont mené à la l’Allemagne Nazi, et l’abus du pouvoir sur le stade mondiale. Contre à son thèse, la meilleur réponse aux faillites du libéralisme n’est pas de l’abolir, mais de le laisser évoluer jusqu’au libéralisme moderne, où on incorpore plus de sécurité pour les citoyens, et la société est un peu plus égale. Entre les deux extrêmes du libéralisme pur et un gouvernement autoritaire, on trouve une oasis de l’égalité et la liberté qui est la libéralisme moderne.